Meilleur : Giant Land
Comme l’original Super Mario Bros., cette suite est une œuvre de génie tellement que le produit de l’équipe créative qui a tourné à tout seul, qu’il est extrêmement difficile de désigner une chose comme la fonctionnalité qui se remarque le plus importante. Mais s’il y a un aspect qui est particulièrement indicatif de l’excellence du jeu pour moi, c’est Giant Land, le quatrième monde du jeu, dans lequel tout est super dimensionné : d’énormes goombas, koopas, blocs et plantes piranhas bousculent totalement votre sens de l’échelle. Mais encore une fois, ce n’est pas vraiment Giant Land pris isolé qui fait Super Mario Bros. 3 tellement génial. Ce n’est qu’un exemple de l’inventivité avec laquelle l’équipe créative a abordé la création de ce jeu, chacun de ses royaumes donnant l’impression d’être une étape distinctement différente de votre voyage épique au cœur du territoire de Bowser.
Le pire : tous ces autoscrollers
Les dirigeables de Bowser ont un véritable sens du drame. Ils suggèrent que Bowser n’est pas un méchant impuissant et agité et qu’il dispose d’une véritable puissance militaire, d’un empire à sa disposition. Mais la façon dont l’écran défile à son propre rythme à travers ces étapes, souvent plus lentement que vous ne le souhaiteriez, semble contraignante dans un jeu qui, comme l’original, est à son meilleur lorsque vous profitez d’une liberté de mouvement remarquable. Et puis, tout comme vous approchez du point culminant du jeu, vous êtes frappé par plusieurs autres défilements automatiques dans le monde de Bowser, alors que vous affrontez sa flotte de chars, sa marine, sa flottille de petits dirigeables, puis un autre groupe de chars avant d’entrer enfin dans le difficile château final. J’apprécie l’effort pour rendre Bowser redoutable, mais ces étapes vous empêchent inutilement de foncer, ce qui en fait un pénurie de fin de partie et le fléau des speedrunners partout.
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