Jouez-le : presque tout
Objectif actuel : Apporter un peu de justice dans les rues
Dernièrement, j’ai eu envie de revisiter les incroyables beat’em ups de Capcom de la fin des années 80 au milieu des années 90, ou, dans certains cas, d’y jouer pour la première fois. La semaine dernière, un ami et moi avons joué à l’excellente paire de jeux sous licence de la société. Donjons et Dragons bagarreurs—Tour du Destin et L’Ombre sur Mystara—via la compilation Chroniques de Mystara, et j’ai été tellement impressionné par leurs combats satisfaisants, leur multitude de secrets et de voies alternatives, ainsi que par l’intégration de systèmes d’inventaire et d’objets magiques. Ce week-end, je veux revenir au jeu qui a lancé la série de beat’em ups de Capcom qui a défini le genre : celui de 1989 Combat final.
Quand je pense au beat’em up par excellence, je pense à Combat finalJe me souviens à quel point c’était incroyable de voir ce jeu dans une salle d’arcade, une laverie automatique ou une supérette à proximité à l’époque ; ces sprites massifs, ces échantillons de voix numérisés croustillants, ces combats percutants. C’était l’un de ces jeux dont on savait instantanément qu’il allait changer un genre à jamais, transformant et peaufinant les principes fondamentaux établis dans des jeux antérieurs comme Double Dragon et Renégat vers quelque chose de plus immédiatement accessible, attrayant et inoubliable. Je n’ai pas joué Combat final depuis de nombreuses années, et l’ami avec qui je joue à ces jeux dernièrement ne l’a jamais fait. Ce week-end, je pense qu’il est temps pour le maire de Metro City, Mike Haggar, de se rendre à nouveau sur le trottoir, de frapper à coups de poing certains membres du gang Mad Gear et, avant que tout ne soit dit et fait, d’affronter la véritable source du mal : un homme riche et puissant, supervisant son empire criminel du haut d’une tour de verre, bien au-dessus des rues et des wagons de métro délabrés qui définissent Combat finalL’incroyable représentation d’une ville au bord de la ruine. — Carolyn Petit
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